SCIENCITUDE ET PARANORMAL.


AIDE TECHNIQUE AUX RÉVISIONS DU BAC SCIENTIFIK. (Absolument Non agréée par l’Éducation Nationale)

Tout le monde connait les diverses références internationales de métrologie toussa, toussa.

D’augustes et très savantes personnes s’y étant penchées dessus depuis des lustres, grâces leurs soient rendues*.

Prenez par exemple le Newton. Unité de mesure d’une simplicité quasi enfantine que tout le monde connait parfaitement:

 

Ce brave Isaac doit encore se fendre la poire là où il est en songeant aux millions d’étudiants ayant planché dessus et n’ayant pas fermé l’œil de la nuit précédant de très importants examens.

Comme ces doctes et très savantes personnes ont un sens de l’humour terriblement développé, ils se livrent à quelques facéties. En 1960 par exemple, c’était: « nouvelle définition du mètre par un multiple d’une longueur d’onde de la radiation entre deux niveaux excité du krypton 86« * ce qui est d’une évidence … parfaitement évidente pour les génies des Karpathes comme Cousine Klnka

« Krspttc rttbkrr ntvcckr ! »

Merci Cousine Klnka …

Bon, il existe aussi le « joule », le « pascal » etc, etc…

N’empêche qu’il semble qu’il manque au moins deux unités de mesures parfaitement essentielles sur cette bonne vieille planète, comme me le signalait un collègue!

Le ROBERT et le JOUFFLU, sinon comment parfaitement définir ceci?

« 10 ROBERTS sur l’Échelle de ROBERT » ?

« 10 JOUFFLUS sur l’Échelle de Joufflu »?

Ainsi donc, « Sic progredi debet Scientia … iudicio et errore! »**

Bon, ça c’était pour les « Sciences Dures » … ou plutôt « Moelleuses »***

 

 

Maintenant, il est temps de passer au  PARANORMAL! Voui, et sans peur!

 

Il se passe toujours des trucs louches à Lingua! J’en veux pour preuve ce surprenant spectacle:

Ciel! Des meules de grugru emprisonnées!

soumises a des tortures abomiffreuses?

Je crains que pour leur intégrité… ce ne soit un tantinet râpé!

Mais qu’est-ce qui a pris à nos Ingénieuresses de torturer ainsi de pauvres meules de grugru qui n’avaient rien demandé a personne? Serait-ce là les fameux OFNI? Plus communément appelés: Objets Fondants Non Identifiés?

Serait-ce un remake de Mars Attack en mode Vaches Folles de l’Espaaace?!

N’ayez crainte! Le Lingua Franca Chronicle enquête!

 

Votre Paulette.

*Pas trop quand même passque leurs truks c’est vraiment pervers, ou prévert enfin vous voyez ce que je veux dire!

** Sic progredi debet Scientia … iudicio et errore!= « Ainsi se doit d’avancer la Science …par tâtonnements! »

*** Si j’écris « Molles » par oppositions aux « Sciences Dures » les copines vont me lyncher, à juste titre et je ne pourrais pas leurs en vouloir naméo!

POST-SCRIPTUM: Pour l’illustration de l’Unité de Mesure « Robert » un grand merci a Ludi

Pour l’illustration de l’Unité de Mesure « Joufflu » un grand merci a Sophie surnommée « Poupinette »

Sans vous ce papier n’existerait pas!:-) Bises!

4 thoughts on “SCIENCITUDE ET PARANORMAL.

  1. Un peu de physique expérimentale maintenant :

    Hypothèse : le mouvement perpétuel existe

    Donnée 1 : une tartine beurrée tombe toujours côté beurre
    Donnée 2 : un chat retombe toujours sur ses pattes

    Démonstration:
    Attacher une tartine beurrée sur le dos d’un chat, en prenant bien garde à ce que le côté beurré de la tartine soit à l’opposé des pattes du chat.
    Lâcher l’ensemble d’une hauteur approximative de 1m235.
    La tartine tente de retourner l’appareil pour tomber côté beurre, alors que le chat opère le mouvement inverse pour tomber sur ses pattes.
    L’action opposée des deux forces génère on mouvement rotatif de l’appareil, ainsi qu’une oscillation, mais sans perte notable d’altitude.

    Conclusion:
    Nous sommes en présence d’un mouvement rotatif et oscillatoire permanent, évoluant entre 1m205 et 1m264, et tournant à environ 0.375 tour/seconde.
    Le mouvement perpétuel est donc bien présent.

  2. D’après le Professeur Émérite Herbert Von Fumanchu, Titulaire de la Chair de Physique Quantique Drôle et Aléatoire des Universités Associées de Bretzel-Litchi =
    Donnée 1 = Une tartine beurrée ne retombe JAMAIS sur ses pattes…
    Donnée 2 = Un chat beurré non plus !

    Expérience ludique, facilement réalisable dans son salon, et qui ravira toute la famille le soir à la veillée.

    Expérience =
    1) Munissez-vous d’une tartine de pain que vous aurez pris soin de bien beurrer sur sa face supérieure et d’une chaise qui vous servira de piédestal.
    Juchez-vous sur ladite chaise en ayant soin de vous munir de la tartine beurrée dans l’une de vos mains. Tendez les bras en saisissant cette même tartine, entre le pouce et l’index de chaque main, par chacun de ses bords opposés. Au même instant « T » et d’un même mouvement, écartez pouces et index.
    La tartine, par ce simple geste, devient libre de toute contrainte et, par la force de l’attraction terrestre, se dirige d’un mouvement vertical dirigé du haut vers le bas, à une vitesse approximative de 1,1121 m/s et s’écrase sur le sol dans un « splatch » démonstratif et probant = elle est tombée du côté beurré !
    Descendez de la chaise, mettez-vous à genoux et observez la tartine. Que constatons-nous, dès lors ? La tartine n’a PAS de pattes, et ce sur aucune de ses faces !
    Conclusion = une tartine beurrée, en l’absence totale de celles-ci, ne retombe JAMAIS sur ses pattes !

    2) Munissez-vous d’un chat d’âge moyen (la race est sans importance) et d’une bouteille d’un alcool adéquat tel que Calva, Chouchen, Armagnac, Mirabelle, Marc de Bourgogne etc… Faites ingurgiter une bonne moitié de ladite bouteille au chat puis patientez…
    Lorsque le chat se déplace de façon aussi aléatoire qu’incertaine, telle que « en quinconce », de travers, l’arrière-train cherchant à dépasser la tête etc… vous saisir du chat et grimper sur la chaise que vous aurez pris soin de laisser en place. Tendez le bras en saisissant le chat flasque par la peau du dos. Lâchez le chat ! Libre alors de toute contrainte et par la force de l’attraction terrestre, le chat se dirige d’un mouvement vertical dirigé du haut vers le bas, à une vitesse approximative de 3,2725 m/s (c’est normal puisqu’un chat est plus lourd qu’une tartine) et s’écrase sur le sol dans un « splatcharrmaarraaaooowww » démonstratif et probant !
    Descendez de la chaise, mettez-vous à genoux et observez le chat. Que constatons-nous, dès lors ?
    1) Il s’est vautré comme une bouse soit sur un flanc, soit sur le dos, soit sur le bide les pattes en croix mais donc PAS sur ses pattes !
    2) il ronfle avec un air béat.
    Conclusion = un chat beurré ne retombe JAMAIS sur ses pattes, n’ayant plus conscience d’en être muni ! Cqfd.

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